L’association des Amis du Hât-Bôs organise le samedi 20 mai à Montdidier une sortie matinale pour écouter chanter les oiseaux et les identifier. Dans les rues et sur les sentiers du village, les participants déambuleront avec Alain TRINKWELL, un animateur de la LPO, ravi de faire partager sa passion.
Tous les inscrits se retrouveront à 8h du matin pour trois heures et demie de découverte…Le tarif fixé était de 3 euros les non-membres, gratuit pour les membres des Amis du Hât- Bôs.
Une sortie ornithologique qui promet d'être passionnante et qu'il faudra peut-être réitérer, vu l'affluence (déjà 40 personnes inscrites) Un groupe à dédoubler avec deux animateurs peut être. INSCRIPTIONS CLOSES !
Possibilité de restauration. Voir contact 07 70 45 52 89
Il reste à cette heures quelques places pour le repas : 10 euros (viennoises, salade de pommes de terre, crudités, café)
« L’Association des Amis du Hât-Bôs » milite dans la commune de Montdidier pour la protection de sa Nature, et plus particulièrement cette fois-ci pour la préservation des espèces.
C’est dans ce cadre qu’un atelier a été initié par un membre du comité : l’activité consiste à identifier le chant des oiseaux à l’aide du smartphone avec une application très perspicace. Et c’est l’occasion de découvrir toutes les espèces qui nichent et chantent dans le village et ses alentours.
Pendant une matinée, les découvreurs se sont mis en quête de ramages, les ont enregistrés, identifié leurs auteurs.
Puis ils se sont retrouvés dans la salle communale pour mutualiser leurs trouvailles. Ce matin –là ce sont déjà plus de vingt espèces qui ont été répertoriées et le travail est loin d’être fini.
L’atelier devrait déboucher avant la fin des vacances sur la création d’un document visuel animé ou non, qui serait diffusé lors d’une rencontre intergénérationnelle.
Ce matin, un joli verdier investissait une plante qui prolifère de part et d’autre de l’allée qui mène à ma maison : la bourrache.
C’est là que le verdier s’amusait avec son bec massif et dur à récolter les graines. C’était un mâle reconnaissable à son plumage vert pomme, à la raie jaune qui souligne son aile et sa queue.
Cet hiver, à Montdidier, les mangeoires des oiseaux n'ont pas attiré foule. Alors que les hivers passés, on nourrissait chaque semaine les mésanges, rouges gorges, cet hiver ce n'est qu'une fois par mois ou une fois toutes les six semaines qu'on rajoutait des graines... pas de mésanges ... même constat dans les magasins vendant les graines : pas de demande... Deux hypothèses sont proposées par les gens d'ici, soit les oiseaux ont été décimés par une épidémie...soit, hypothèse la plus probable, le traitement des chenilles processionnaires a eu raison de ces petits volatiles. Ont- ils mangé des chenilles intoxiquées,ou n'ont-ils plus trouvé de quoi se nourrir...? Toutes les communes voisines et la nôtre à la suite du traitement massif par hélicoptère s'étaient félicitées de la disparition des chenilles aux poils urticants. Peut-être que les froids rigoureux de l'hiver 2016 en seraient venus à bout... tant pis, on ne peut plus faire marche arrière... Quand pourrons nous de nouveau assister au ballet de ces beaux oiseaux ? Leurs chants aussi manquent cruellement.
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les mangeoires des oiseaux n'ont pas attiré foule. Alors que les hivers passés, on nourrissait chaque semaine les mésanges, rouges gorges, cet hiver ce n'est qu'une fois par mois ou une fois toutes les six semaines qu'on rajoutait des graines... pas de mésanges ... même constat dans les magasins vendant les graines : pas de demande...