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3 janvier 2024 3 03 /01 /janvier /2024 21:35

Nous laissons la voiture sur le parking face à la mairie, à côté de la petite épicerie,  et partons pour découvrir l’étang de Bénestroff à pied.

Nous sommes dans la Grand rue, passons devant la jolie fontaine en grès située devant le centre culturel et arrivons au passage à niveau, encore en fonction…

Il reste là encore des bâtiments, vestiges de la période florissante du village qui comptait alors une superbe gare. On aperçoit la maison de l’ancien garde-barrière, une maison cossue de l’autre côté de la voie. Bientôt nous découvrons à notre gauche un bâtiment en longueur, ancien, surmonté de colombages… Quelle était son utilité ? Une grange ? un atelier ?

Quelques maisons des années 70 bordent la route. On entend le bruit sourd et permanent d’une usine : la laiterie !  On aura une belle vue d’ensemble sur ce complexe un peu plus loin.

À main droite des prés et des mares où s’attardent deux aigrettes…

Un ruisseau est bordé de très vieux saules qui doivent en avoir des histoires à raconter vu leur grand âge. Mais ils sont en piteux état. Je reste malgré tout en admiration devant ces merveilles de la Nature.


La route goudronnée que nous avons empruntée aboutit au grand étang. Nous croisons un couple de sportifs qui s’y rend en courant. Nous avançons tranquillement profitant du bon air et du silence, avant de rebrousser chemin.

 

Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
Promenade à Bénestroff vers l’étang
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2 janvier 2024 2 02 /01 /janvier /2024 15:05

Se promener en forêt peut être une aventure si on est mal chaussé. Sur les sentiers balisés de la Communauté du Saulnois, il existe des passages gadoueux… Mais ce n’est pas pour nous décourager…

                                         Chemin de la Vallerade

Il existe aussi des passages compliqués liés à la chute d’arbres…

On peut s'arrêter pour admirer les marelles où se reflètent les arbres...

Si les fleurs et les oiseaux ne sont pas au rendez-vous comme au printemps, on peut s’extasier devant les mousses et lichens… qui tapissent les souches, les troncs mais aussi le sol…

Le  temps est aussi propice à l'observation de champignons...

 

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19 mai 2019 7 19 /05 /mai /2019 16:34

Ce matin, j’ai fait une rencontre sympathique : une douzaine de marcheurs de tous âges passait dans la rue principale pour rejoindre le point de vue situé à proximité de l’église. Ils m’ont invitée à boire avec eux l’apéro à la table d’orientation. Et ce que j’ai appris m’a beaucoup plu.

Leur idée est tout simplement géniale : les membres de cette famille ont convenu qu’une fois par mois l’un d’eux organiserait une marche. Venus de Sarralbe, Haguenau… ils ont décidé de découvrir aujourd’hui  notre butte du Hât – Bôs.

Nous avons échangé, parlé de la commune, du site, du Chemin des Morts, du programme de l’association des Amis du Hât-Bôs…

Nous nous sommes même découvert des amis communs ! Et quand je les ai quittés pour faire ma distribution d’annonces de vide-grenier dans les boîtes aux lettres, ils semblaient ravis de leur halte et prévoyaient de faire un tour du côté de « la Corbeille Lorraine. »
C’est là qu’un peu plus tard, je les ai vu être accueillis par le maître des lieux Régis qui a pris de son temps pour leur faire visiter son atelier et sa boutique.

 

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4 mai 2019 6 04 /05 /mai /2019 22:58

Circuit de 3 km dans les bois autour de Montdidier

Le 30 avril, le temps clément invite à la promenade. Marcher sur les sentiers encore secs me tente assez.

Je dévale le versant Sud Est pour rejoindre le chemin de la Vallerade mais bifurque à droite,et  passe devant un pré couvert de pissenlits...

je prends à droite  le chemin vers la citerne,  et là à gauche  après avoir enjambé un tas de terre, entre dans le sous-bois pour emprunter un sentier peu fréquenté qui mène au pré curial.

Il me faut contourner un arbre tombé sur le chemin.

Les stellaires, des labiées et des anémones tapissent le sol.

Soudain, une chevrette qui ne n’attendait pas à ma visite, saute dans le taillis et s’enfuit.

Il me faut traverser le pré curial et passer un petit fossé au pied d’un mirador qui a fait peau neuve.

De là, j’emprunte l’allée à ma droite, de part et d’autre de cette voie la forêt est moins touffue, de nombreuses coupes ont éclairci le bois. Là, une fois de plus je dérange un jeune brocart qui s’élance dans le sous-bois. 

Devant moi deux grands champs labourés bordent la forêt.

Bientôt le chemin se divise et j’opte pour celui de droite qui revient vers la forêt.

L’endroit est calme, les oiseaux  gazouillent à qui mieux mieux.  Je ne quitte plus cette voie malgré les passages humides et  les embûches que j’y rencontre : de nombres arbres abattus obstruent le passage. Le travail n’a pas été achevé par les bûcherons… de toute façon qui irait se promener sur ces chemins ?

N’empêche qu’il ne fait pas manquer d’agilité pour escalader ces troncs et franchir les branchages.

Bientôt je débouche derrière une habitation du village. Me voilà derrière la maison de JC Wirtz, et je décide d’aller à droite, et d’emprunter le sentier étroit très bien entretenu qui longe le ban de Nébing.  

Me voilà sur le Pont François. Encore quelques mètres…

A la sortie de la forêt, voilà la montée raide qui mène au centre du village, un chemin goudronné au bord duquel poussent encore des orties pour le plus grand bonheur des chenilles appelées à devenir des papillons…

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28 avril 2019 7 28 /04 /avril /2019 09:02

En me promenant à Albestroff, j’ai découvert des endroits insoupçonnés qui m’ont séduite. Moi qui passais par ce village pendant des décennies chaque jour, je ne connaissais pas les coins bucoliques, à l’abri des regards.

C’est derrière la rue de la Tannerie que le spectacle était le plus pittoresque : il existe encore là des jardins où on laisse la nature s’exprimer. Un plaisir pour les yeux, et le cœur !

 

Mais il en existe d’autres comme ces parcelles qui bordent le sentier passant entre les murs de l’ancien château, se dirigeant vers la gendarmerie : cette sente se faufile aussi entre de beaux jardins privés. Et là dans celui de M. Schmitt, on peut admirer un  noisetier tortueux centenaire qui mériterait d’être classé…

 

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27 avril 2019 6 27 /04 /avril /2019 13:27

Nb de participants : 15

Durée : 1h 35

Distance 6,5 km

Dénivelé positif de 89 m et négatif de 86 m

Invitée par Lilo Avénia, expatrié du Hât-Bôs, je me suis jointe  le mercredi 24 avril à un groupe de randonneurs de Dieuze pour effectuer avec eux une belle boucle à pied entre le Hât Bôs et Léning.

Rendez-vous à 14 heures à la table d’orientation où le groupe a été pris en photo par son président.

La petite troupe est descendue par le chemin dit « des Morts »- parce qu'autrefois il était emprunté par les gens de Montdidier qui emmenaient leurs défunts au cimetière de Léning par cette voie -,

puis on a traversé la forêt "le Grosswald". Quel bonheur de marcher ici ! Après un petit arrêt à la lisière,

les marcheurs ont longé les prés qui bordent l'Albe,puis la Ferme de la Tuilerie sur un chemin nouvellement  nivelé et revêtu par la commune de Léning. Les bords du sentier seront bientôt plantés. On connaît l’amour qu’Antoine, maire de Léning voue à la Nature et plus particulièrement aux arbres ! Et les élus le soutiennent. Bravo à eux !

Longer des prés verdoyants, marcher dans les sous-bois est un plaisir.

C’est sur la deuxième moitié du parcours que la nature est la plus riche. Le premier tronçon, à savoir la descente vers la forêt,  le long des champs monotones cultivés et copieusement arrosés de produits, a moins de charme. Si ce n'est le point de vue qu'on a, en se retournant, sur la butte où s'alignent les maisons du village.

Sous un ciel menaçant,  les quinze participants, très alertes et heureux de se retrouver, ont marché à une vitesse moyenne de 4,1km à l’heure. C'était pour moi l'occasion de faire connaissance avec des gens de Gélucourt, et d'autres localités,  de revoir d'anciennes connaissances ayant participé aux balades dominicales d'antan au village...

Au moment de rejoindre la D88, les gouttes menaçaient mais les éléments se sont déchaînés une fois que nous étions arrivés à la table d’orientation.

 

Photos de JD  (3,5,6) et Photos (1,2,4) de FF (Francis Fauconnier, président des Sacs à Dos)

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5 août 2016 5 05 /08 /août /2016 20:35

Il fait bon se promener le soir quand les derniers rayons frôlent la colline du Hât-Bôs. Un instant de grâce ! Cette fois-ci mes pas m’ont menée vers le chemin de l’antenne. Puis descente sur le chemin de la Vallerade et retour.

Une belle occasion pour photographier en bord de route ou des sentiers, les fleurs qui ne sont pas tombées sous une faucheuse : ici fleurissent encore l’eupatoire chanvrine convoitée par les bourdons, le trèfle commun et le trèfle blanc, le bugle, le mélilot, le chardon lancéolé, la gesse des prés.

Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.
Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.

La feuille de vigne éclairée par le soleil tranche sur le feuillage plus sombre des arbres. La liane de ce cépage qui a survécu est devenue folle, elle prend une ampleur incroyable, se lance à l’assaut des faîtes des arbres qu’elle parasite, un peu comme le chouchou le fait à la Réunion ! Dans un endroit sauvage j’ai même vu des carlines et d’autres fleurs que je dois encore identifier.

Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.

Et ces taches rouges qui se découpent dans la broussaille invitent à la photographie : ce sont des baies de viorne obier ! A plusieurs reprises j’en verrai sur ce joli chemin qui longe la Vallerade. Là, la végétation est encore sauvage, mais ces dernières années de nombreux bosquets et des broussailles ont disparu, les habitants du village déboisant progressivement … Mais dans le petit bois qui reste sur le versant de la colline on devine que ça vit ! Effectivement, un petit brocart vient de quitter l’endroit et semble un peu désorienté en me voyant.

Je remonte vers la civilisation, m’arrêtant encore près des asperges sauvages où se chauffe une libellule, et jetant un dernier regard sur mes abeilles qui travaillent toujours !

Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.
Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.
Début août, le soir, sur les sentiers du Hât-Bôs.
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13 mars 2016 7 13 /03 /mars /2016 18:00

A l’occasion de ma promenade dominicale au Hât-Bôs, j’ai eu l’occasion de descendre vers Les Terres Blanches et de voir la bonne santé du gingko biloba planté l’année dernière, de constater que mes abeilles bourdonnaient dans leur ruche, et de faire un petit pèlerinage sur le sentier qui longe le ban de Nébing.

Le petit pont de bois qu’on traversait naguère n’a pas souffert de l’hiver et le chemin est bien dégagé.

Bientôt le printemps !
Bientôt le printemps !

Les anémones ouvrent déjà leurs corolles blanches, et les pulmonaires leur corolle mauve. Les bourgeons des arbres sont prêts à s’ouvrir.

Bientôt le printemps !
Bientôt le printemps !
Bientôt le printemps !

Depuis le chemin, on aperçoit les habitations sur la butte. Les prés sont bien verts. Les ornières laissées par des tracteurs me laissent toujours un peu d’amertume.

Bientôt le printemps !

Me voilà sur la départementale. Au moment où je m’engage dans le chemin qui contourne la butte, un couple de chevrettes s’élance dans un espace forestier destiné à la régénération. Quelques lambeaux de ciel bleu essayent de gagner du terrain, en vain.

Bientôt le printemps !

Cinq espèces d’oiseux chantent dans les branches, mais ils se perchent ou se cachent malgré ma discrétion.

Le petit banc en bois dont l’assise est couverte de mousse n’a pas dû être occupé ces derniers mois. Le vent souffle sur les labours.

Dans le verger de Régis, des petits rameaux entassés au pied des fruitiers atteste la taille entreprise par le propriétaire du verger.

Bientôt le printemps !
Bientôt le printemps !
Bientôt le printemps !

Me voilà devant la mairie qui a subi une transformation (cf article précédent). Je rends une petite visite à Gilbert et Françoise M, que j’ai grand plaisir à revoir avant de rentrer au chaud.

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